Séjour à Labenne océan- semaine du 1er de l'an 2017/2018
Publié le 9 Janvier 2018
La maison que nous avions loué à 15 la semaine dernière à Labenne océan, était tout près de la plage, mais c'est une plage dangereuse où il ne faut pas se baigner (en janvier peu importait pour nous!!). Nous sommes allés balader sur ce lieu à de nombreuses reprises, et chaque fois il nous a apporter de nouveaux paysages.
ce qui prédomine sur cette plage, c'est la présence de Bunkers du mur de l'Atlantique un peu partout:
Le mur de l'Atlantique est un système extensif de fortifications côtières, construit par le Troisième Reich pendant la Seconde Guerre mondiale le long de la côte occidentale de l'Europe et destiné à empêcher une invasion du continent par les Alliés depuis la Grande-Bretagne.
Ces fortifications s'étendent de la frontière hispano-française jusqu'au nord de la Norvège. Elles sont renforcées sur les côtes françaises, belges et néerlandaises de la Manche et de la mer du Nord.
Au coucher du soleil, les couleurs étaient vraiment belles, et l'océan déchaîné, avec l'approche de la tempête et les grandes marées, masquait presque totalement les Pyrénées (en fond d'images) de ses grosses vagues.
Un matin, la marée avait grondé fort toute la nuit, et nous avons découvert une plage remplie d'écume, propice à l'amusement pour les enfants et aux jolies photos.
Mais nous avons aussi bougé. La veille de la tempête Carmen nous étions au fort de Biarritz juste pour un magnifique coup de vent, c'était grandiose.
Et puis, Bilbao n'étant qu'à 2 heures de route, nous avons fait un saut au musée Guggenheim, surtout pour faire découvrir à la famille son architecture hors du commun (Par Franck O'Gerry), et puis, pour visiter ses expositions, avec une large préférence pour l'oeuvre de Serra, permanente dans le musée. Et puis après, c'est l'araignée de Louise Bourgeois, extérieure au musée qui a retenu notre attention, elle date de 1999 et se nomme "maman". On peut savoir pourquoi en consultant ce site.
En rentrant de là, stop obligatoire au peine del viento XV à San Sebastian, plus pour voir les vagues s'engouffrer dans les geysers artificiels créés sur la digue que pour admirer les sculptures d'Eduardo Chilida et Luis Pena Ganchegui.
Un petit tour à Saint jean de Luz, le 4 janvier, nous a permis de découvrir d'un peu plus près le fort de Socoa (même si nous connaissions aussi), et les rues piétonnes de la ville.
La mer était vraiment forte au delà de la digue, c'était un spectacle magique, et nous avons été intrigués par tout un tas de surfeurs pros qui rentraient avec leurs scooters des mers. C'est en se renseignant sur internet que nous avons vu qu'ils venaient de surfer, certainement, la fameuse vague géante de Belharra qui, par chance, c'était réveillée juste ce jour-là. Par contre nous avons regretté ne pas l'avoir su avant sans quoi nous serions venus plus tôt pour essayer de les voir surfer... apparemment, on pouvait l'observer du côté d'Hendaye/Urrugne.
On a voulu aller manger à notre pizzeria favorite à Hossegor, Le Napoli, mais c'était fermé pour travaux, quel malheur, la famille a raté ses succulentes pizzas!
On n'a pas été voir si c'était ouvert chez Minus, à Capbreton, un restau moules-frites sympa, parce qu'il y avait des réfractaires dans le groupe.
Mais par contre les magasins d'usine étaient ouverts, eux, l'occasion de faire pour les Grenoblois de faire un tour dans les boutiques de marques de surfeurs du genre Rip'curl, Volcom ou Billabong...