Jour 17: la mer près d'Athènes
Publié le 9 Septembre 2021
Pour le dernier jour de ce roadtrip ressourçant, nous ne voulons pas rester sur Athènes avec les 40 degrés, mais plutôt aller se délasser un peu à la mer, avant de prendre notre avion à 19h30 (vol régulier AIR France).
Ça ne va pas être compliqué si on fait abstraction de la conduite très dangereuse des atheniens (c'est sportif!), puisqu'on a gardé la voiture, même si hier on s'est déplacé uniquement en métro.
Elle est garée dans le parking souterrain de l'hôtel, bien à l'abri.
Décidément, l'airotel alexandros propose vraiment un petit déjeuner très complet que nous apprécions au plus haut point (surtout qu'il est compris dans le prix).
Après ça, Nono va faire un test antigénique (20 euros), dans un labo situé tout près. Rien de plus simple, il n'y a pas de queue même si c'est sans rdv.
Les résultats sont là avec un qrcode, au bout d'une demi-heure. C'est bon nous sommes en règle pour repartir sous notre nuage pyrénéen.
Mais avant cela nous prenons la route pour descendre jusqu'au temple poseidon, qui prône majestueusement au bord de la mer. C'est un très bel endroit, très mystique. Malheureusement l'entrée, que je croyais à 8 euros par personne, a été augmentée à 10 euros. Heureusement cela reste gratuit pour les moins de 18 ans.
On peut voir le temple depuis les plages alentours également. Mais cela n'est quand-même pas pareil que de l'approcher tout près. Il en impose.
Nous avons pu observer au passage que les plages entre Vouliagmeni et le cap Sounion sont très belles. C'est à noter que pas très loin d'Athènes on peut de baigner dans de l'eau translucide aussi. Évidemment ça n'est pas la côte escarpée de Zante mais franchement, c'est beau tout de même.
De notre côté nous trouvons une petite crique isolée juste à côté du sanctuaire d'Athéna, pour nous tremper un moment et surmonter la grosse chaleur. La Grèce vit sa plus grande canicule depuis 30 ans paraît-il. Bah, ça fait du bien malgré tout d'être ici... On en a profité pleinement après cette crise covid, la peur de ne plus avoir accès au voyage, le stress, les restrictions, et tout ce qui accompagne cette période trouble pour l'humanité. Et puis, nos amis des Pyrénées nous parlent de pluie et de froid (8 degrés!), il paraît qu'on rallume les cheminées le soir... Alors on est bien sous notre cagnard, et pas tellement pressé de rentrer!
On mange nos derniers gyros pitas, souvlaquis, et salade de tomates concombres au Perasma à Lavrio, qui est un port assez moche, le départ de nombreux ferries. Ce grill n'est pas noté très bien sur maps qui me sert de référence, la plupart du temps. Nous y sommes allés par hasard, et quand nono regarde les commentaires il prend peur. Cependant c'était très bon. Rien à dire.
Il est temps de retourner à une plage pour une ultime dernière baignade. Nous la choisissons pour l'accès facile depuis la route et la douche gratuite présente sur place. Elle se trouve à 25 min de notre loueur de voiture, en plus. C'est la paralia vromopousi.
Puis nous rendons la voiture sans aucun problème. Nous avions juste pris soin d'épousseter un peu les tapis de sol et de nettoyer les contours des portes. On ne nous fait aucune histoire... c'est une navette du loueur qui nous ramène à l'aéroport, le type qui conduit est cinglé. Il conduit vite en lisant les messages de son téléphone, avec ses lunettes loupe! Pour le coup j'ai des sueurs froides !
Nos pass sanitaires seront largement contrôlés au départ d'Athènes comme à l'arrivée sur Toulouse.
Il fera 17 degrés dans la maison quand nous y arriverons vers minuit. Bienvenue chez nous...